lundi 28 septembre 2009

Litto Nebbia à Paris : retour sur images [ici]

Litto Nebbia sur le pont, le vendredi, avant l'arrivée du public

Dix jours plus tard, je trouve enfin le temps de publier quelques photos des deux premiers concerts que Litto Nebbia a donnés à Paris, avant de s’en retourner en Espagne, où il était attendu à San Sebastián dès le lundi suivant pour un nouveau concert et où sa tournée européenne continue, avec la présentation un peu partout outre-Pyrénées de son disque enregistré l’année dernière et paru sous le label Pescador de Estrellas (lire l’article de Barrio de Tango sur Soñando Barcos).

Il me l’a promis quand nous nous sommes quittés : il reviendra l’année prochaine. Avis aux Parisiens et aux Bretons, dont il a beaucoup aimé les petits villages comme Ploërmel et ses environs...





Avec Gonzalo Aloras, l’invité surprise des concerts parisiens, pendant les essais de son.





Avec Corentin, l’ingénieur du son du bord (pull orange), et Gonzalo Aloras, debout de dos.



Ecoutant Gonzalo Aloras
(Gonzalo est un guitariste et un chanteur qui vient de sortir son premier disque, où il chante des succès de Litto Nebbia, Charly García et Luis Alberto Spinetta, trois grands du rock nacional en Argentine. Il est lui-même l’un des musiciens d’un autre grand du rock argentin, Fito Paez)
Litto Nebbia s’est produit à Ploërmel, le 11 septembre, au Thy-Roir Café Concerts, sous les auspices de l’Association Culturelle Franco-Argentine (ACFA), et à Paris, à la Péniche Demoiselle, amarrée au Bassin de La Villette, dans le 19ème arrondissement. Un grand merci des organisatrices à ces deux salles très jolies, très agréables, qui nous ont reçus avec autant d’amabilité...
Un salut amical pour finir à Ivan Schuliaquer, le très aimable, très sympathique et très jeune correspondant à Paris du quotidien argentin Crítica de la Argentina, qui s’est précipité sur le musicien dès son arrivée dans la capitale pour obtenir en exclusivité sa toute première interview sur le sol français... Un article et un entretien à lire (en espagnol) sous le lien précédent pour vous rendre compte de ce que signifie pour un Argentin le passage de ce créateur dans la Ville-Lumière, comme on l’appelle encore à Buenos Aires et à Rosario. Merci à lui d’être venu et d’avoir fait à Barrio de Tango sa première citation dans la presse du Cono Sur.
Merci aussi à Ouest-France d’avoir relayé l’information de cette tournée au pays de Brocéliande...

En savoir plus :
lire les articles sur cette tournée en France de Litto Nebbia, en cliquant sous le mot-clé LN Tour France 09 dans le bloc Pour chercher, para buscar, to search, en haut de l'article.Vous pouvez aussi visiter le nouveau site de Melopea, le label discographique fondé par Litto Nebbia en 1988, et qui dispose depuis le mois de juin dernier de pages en français (c’est Bibi qui a traduit !), sur la biographie du maître des lieux, l’histoire de cette maison de disque (610 albums parus en 20 ans) et la philosophie qui préside à la politique éditoriale du label. Vous trouverez le site dans la rubrique Les commerçants du Barrio, dans la partie basse de la Colonne de droite.